mardi 31 janvier 2017

Une aventure extreme

Une aventure extreme

Quatre kayakistes découvrent la rivière Beriman au sud de l'île de Nouvelle-Bretagne.

L’île de Nouvelle-Bretagne est la plus grand île de la Papousie-Nouvelle-Guinée, et pourtant, presque personne ne la connaît . Envahie de jungle et traversé par des canyons profonds, elle est située dans le Pacifique occidental.

En 2013, les quatre kayakistes professionnels Ben Stookesberry, Chris Korbulic, Ben Marr et Pedro Oliva ont découvert par hasard dans le sud de l’île inexplorée la rivière Beriman.  
La rivière de 40 kilomètres, d’un bleu azuréen serpente à travers un canyon, à travers des tunnels de pierre et plonge de plusieurs mètres de profondeur à certains endroits vers le bas. Elle débouche tout à la fin dans la mer. Sans connaître le cours exact de la rivière, les quatres décident ensemble pour la première fois de la parcourir en kayak  pendant des jours. Le canyon entourant le Beriman est grand et imposant, à certains endroits il a jusqu'à 1200 mètres de profondeur. Aux endroits les plus dangereux, chaque kayakistes a dû sortir de l’eau et prendre son équipement complet, y compris son kayak pour contourner les passages impossibles.

Jusqu’ici personne n'avait osé traverser les eaux déchaînées et traîtresses du Beriman.

Partir sans savoir quand on arrive, ni comment on va y arriver! Une aventure de 13 jours qui a été sponsorisée par RedBull, un groupe qui est connu pour les aventures extremes.

Après cette aventure on leur a demandé:,,Voulez-vous le refaire?´´ Ben Stookesberry a répondu que tous les quatre sont professionnels, que vaincre des difficultés de rivières extreme fait pratiquement parti de leur travail et que donc ils attendent la prochaine aventure. Cependant, a-t’il ajouté, il a conscience d´avoir eu  de la chance et ne souhaite pas retenter sa chance une deuxième fois au même endroit.

Une aventure qui leur a permis, en 2015, d'être nommés au trophée National Geographic Adventure of the Year… Respect !


Isabell Nietgen 


Sources :

jeudi 19 janvier 2017

Dopage légal ou soins nécessaires ?

Le sport a besoin d’un remontant suite aux révélations des Fancy Bears

Un mois après la cérémonie de clôture des Jeux Olympiques de Rio, le piratage et la publication de dossiers médicaux de nombreux sportifs olympiques par les Fancy Bears révèle des pratiques douteuses chez les sportifs.


Depuis le 13 septembre 2016 les Fancy Bears, un groupe de hackers russes se revendiquant des  Anonymous, diffuse sur Internet des dossiers médicaux de divers athlètes olympiques fraîchement médaillés. Obtenus par le piratage des bases de données de l’Agence Mondiale Antidopage (AMA), ces dossiers contiennent des informations gênantes pour les athlètes concernés. L’objectif annoncé de cette diffusion est la défense des valeurs du sport propre.


Les dossiers diffusés contiennent deux types de documents : des rapports de contrôles antidopage révélant des résultats positifs d’une part, et des certificats d’autorisation d’usage à des fins thérapeutiques d’autre part. Si l’existence des premiers est de notoriété publique, celle des seconds est bien moins connue et leur contenu soulève de nombreuses questions. En effet, l’autorisation d’utiliser des médicaments susceptibles d’augmenter les performances physiques des athlètes soulève la délicate question de savoir où se situe la frontière entre dopage et santé. Et quand les résultats sportifs se jouent au centième de seconde, un médicament dopant autorisé semble pouvoir aider à faire pencher la balance en faveur de la victoire.


Cependant la surreprésentation des athlètes occidentaux dans ces publications, remet en question la  neutralité prétendue de cette action en faveur d’un sport propre, malgré la présence de Misha Aloyan, un boxeur russe médaillé d’argent aux JO de 2016. De plus, les liens probables des Fancy Bears avec les services de renseignement russes décrédibilisent cette action, et suggèrent une action bien moins noble : des représailles en réponse à l’exclusion de nombreux athlètes russes des jeux, justement pour cause de dopage.


A l’occasion d’un forum sportif en Russie, Vladimir Poutine est revenu sur cette affaire dans un communiqué de portée internationale. Sans pour autant montrer le moindre signe de soutien direct aux Fancy Bears, il s’est insurgé contre le système des Autorisations d'Usage à des fins Thérapeutiques (AUT). Selon lui, les sportifs qui en bénéficient en période de compétition sont par définition malades, et donc leur participation devrait être suspendue. Représailles suite au scandale du dopage d’état ou honnêtes revendications en l’honneur d’un sport plus propre? Difficile à dire, et d’autant plus que son point de vue est partagé par de nombreuses personnalités du monde du sport à l’instar du biathlète français Martin Fourcade ou encore du triple vainqueur du tour de France Christopher Froome. Ce dernier twittait le 27 septembre : “Il est clair que le système des AUT ouvre la porte à des abus [...]. Alors qu’il y a des athlètes qui non seulement ne se contentent pas de respecter les règles mises en place, mais respectent aussi celles du fair-play.”. Que Vladimir Poutine et des sportifs occidentaux soient sur la même longueur d’onde concernant les AUT ne doit cependant pas nous faire oublier que la Russie n’est pas exempte de tout reproche.


Les Jeux Olympiques ne seraient-ils pas mis en péril par une joute politique exacerbée, et ne trouveraient-ils pas leur rédemption par un retour aux valeurs originelles du sport? Le fair-play en fait partie !
Affichage de FancyBears.png en cours...
Par Thibaud Leclaire Bastien Oberlé.

Sources :




lundi 2 janvier 2017

Die härteste Einhandsegelregatta der Welt

Die härteste Einhandsegelregatta der Welt

Am 6. November 2016 um 13 Uhr 02 startet in Les Sables d'Olonne die 8. Ausgabe der berühmten Einhand-Segelregatta um die Welt, ohne Halt und Unterstützung von außen.

Wie alle vier Jahre geht es am ersten Sonntag im November los, die Vendée Globe, die härteste Einhandsegelregatta der Welt. Die Boote legen im französischen Atlantikort Les Sables-d´Olonne ab und sollen dort nach ihrer Nonstop-Tour rund um den Globus in circa 12 Wochen wieder ankommen. Bereits vor dem Start kommen bis zu eine Million Zuschauer um sich den Start und das bunte Treiben vor Ort anzuschauen bei dem viel geboten wird. Es gibt Infos über alle Teilnehmer, ihre Boote und auch andere Schiffe können besichtigt werden.Wer an der Regatta teilnehmen will, muss nicht nur körperlich topfit sein. Auch geistig werden die Segler auf den gut 24.000 Seemeilen gefordert. Zwei Skipper kehrten nie wieder heim, schlimme Verletzungen in unwirtlichem Lebensumfeld können zudem schnell lebensbedrohlich werden. Der Franzose Yann Elies etwa brach sich bei der Ausgabe 2008 an Bord seiner Yacht den Oberschenkel. Erst nach mehreren Tagen rettete ihn eine australische Fregatte.
Das Rennen, das 1989 zum ersten Mal stattfand, wird alle vier Jahre ausgetragen. Man segelt den Atlantik hinunter zum Kap der Guten Hoffnung, weiter nach Australien, Kap Hoorn und zurück nach Frankreich. Während man die antarktischen Gewässer durchquert, werden die Segler auf eine besonders harte Probe gestellt, da diese ausgesprochen stürmisch und gefährlich sind.
Mit einer Zeit von 78 Tagen, 2 Stunden, 16 Minuten und 40 Sekunden stellte der Franzose Francois Gebart, der die letzte Regatta vor vier Jahren gewann, einen neuen Rekord auf. Dieser Rekord könnte aber dieses Jahr schon wieder gebrochen werden. Dieses Mal sind die Boote erstmals mit Foils, sogenannten Tragflügeln ausgestattet. Diese ermöglichen dem Boot eine höhere Geschwindigkeit zu erzielen. Man darf auf das Ergebnis gespannt sein.

Isabell Nietgen

http://www.vendeeglobe.org/fr/
http://www.vendeeglobe.org/fr/presentation
http://www.boursorama.com/actualites/vendee-globe-des-retombees-economiques-colossales-0f4953390a1f94708870eeb944cf73d6


Cambridge gagne la course la plus importante d´aviron contre Oxford

Cambridge gagne la course la plus importante d´aviron contre Oxford


L´Université de Cambridge a gagné la 162ème course d´aviron sur la Tamise contre l'Université d`Oxford. Lors de la plus célèbre course d´aviron du monde sur une longueur de 6.78 kilomètres, les "light blues", le nom familier des garçons de l´Université de Cambridge, ont gagné sur Oxford avec un temps de 18.39 minutes. Le compare aux temps des courses précédentes, ce temps représnte un temps moyen.  La distance de la course, 6.8 kilomètres, est entre les deux quartiers de Londres, Putney et Mortlake. Sur les bords de la Tamise, on trouve plus de 250.000 spectateurs. Pour les habitants de l´Angleterre cette course d´aviron est chaque année un grand spectacle. On fait de l'aviron dans un bateaux de huit personnes. Pour les rameurs, le huit de pointe barré est la plus meilleures bateau. Il y a une course pour un huit des femmes et une course pour un huit des hommes.


La première régate se déroulait en 1845. Cette année là Cambridge a s´emparé de dirèctement au début la direction et consolide sa position de leader. C´est le 82ème triomphe pour Cambridge. Oxford qui a gagné les trois dernières fois, soit 79 fois au total.

Lors de la course des femmes qui a eu lieu deux heures avant, l´Université d´Oxford a vaincu sur l´Université de Cambridge avec 24 longeurs d´avance. Le bateau de Cambridge avait du mal à terminer la course à cause des conditions de l´eau, le bateau a même failli couler.

Isabell Nietgen